Un vétérinaire examinant un chien.

Le diagnostic en laboratoire en médecine vétérinaire

Les vétérinaires dépendent de plus en plus de diagnostics in vitro pour pouvoir évaluer les états de santé de différentes espèces et prendre des décisions éclairées. L’endocrinologie vétérinaire recourt à des immunoessais pour fournir des mesures quantitatives d’hormones sériques animales afin de détecter des pathogénèses responsables de troubles thyroïdiens, métaboliques, anémiques et reproducteurs.

Les diagnostics vétérinaires ont intégré des technologies et des méthodes issues du système de santé global pour ensuite développer de véritables tests vétérinaires. Siemens Healthineers implémente les mêmes normes de qualité de conception des tests et de spécifications de performance que celles appliquées aux tests focalisés sur les êtres humains. Notre engagement en faveur de la médecine vétérinaire s’articule autour de résultats précis fournissant de meilleures issues cliniques.

Maladies endocriniennes et tests

Illustration d’une vétérinaire avec un chat
Illustration d’une vétérinaire avec un chat

Les affections de la thyroïde font partie des troubles endocriniens les plus courants chez le chat et le chien. Il est recommandé de tester la fonction thyroïdienne (y compris la TSH, la T4 libre et la T4 totale) pour évaluer l’état de la thyroïde et faciliter un diagnostic d’hyperthyroïdie ou d’hypothyroïdie.

Illustration d’un vétérinaire examinant un chien.
Illustration d’un vétérinaire examinant un chien.

L’évaluation diagnostique de symptômes cliniques non spécifiques et la gestion des troubles liés à des carences ou des excès sur le plan endocrinien sont importantes pour la santé et le bien-être des espèces animales.

Les mesures de l’immunoréactivité analogue à la trypsine sont utiles pour diagnostiquer et caractériser les troubles de malabsorption de l’intestin grêle canin. L’insuffisance pancréatique exocrine (IPE) est un syndrome causé par une synthèse insuffisante et une sécrétion d’enzymes digestives par la fonction exocrine du pancréas. Les signes cliniques de l’IPE n’apparaissent généralement pas avant que près de 90 % de la fonction des cellules acineuses du pancréas ne soit perdue.1,2

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