Chaque année, le 4 février, la Journée mondiale contre le cancer nous rappelle l'urgence d'agir face à l'un des défis de santé les plus importants de notre époque. Si des progrès considérables ont été réalisés en matière de prévention, de dépistage et de traitements, le combat est loin d'être gagné. Nous devons continuer à sensibiliser, à rechercher des solutions innovantes et à garantir l'accès aux soins pour tous.
Un défi mondial : comprendre l'ampleur du problème
Le cancer, sous ses multiples formes, est une maladie complexe qui provoque près de 10 millions de décès chaque année, selon l'Organisation mondiale de la santé (OMS). Parmi les types de cancer les plus répandus figurent le cancer du poumon, du sein, du côlon et de la prostate. Ce fardeau mondial affecte aussi bien les pays développés que ceux en voie de développement, où l'accès aux soins reste souvent limité.
La prévention reste essentielle : on estime que près de 40 % des cancers pourraient être évités grâce à des choix de vie sains, tels que l’arrêt du tabac, une alimentation équilibrée, l’exercice physique régulier et la réduction de l’exposition aux facteurs de risque comme la pollution ou certaines substances chimiques.

Le cancer en Afrique : une crise silencieuse à combattre
Bien que l'Afrique n'ait pas les mêmes taux de cancer que les pays développés, la situation devient de plus en plus préoccupante. Selon l'Organisation mondiale de la santé (OMS), le cancer représente une crise de santé publique majeure en Afrique. En 2020, plus de 1,1 million de nouveaux cas de cancer ont été diagnostiqués en Afrique, et ce chiffre est en constante augmentation. Par ailleurs, 70 % des décès liés au cancer surviennent dans les pays à revenu faible ou intermédiaire.
Quelques chiffres clés pour mieux comprendre la situation :
- Les cancers les plus fréquents : Les cancers du sein, du col de l'utérus et de la prostate représentent une part importante des nouveaux cas. En 2020, environ 186 568 femmes ont été diagnostiquées avec un cancer du sein en Afrique.
- Taux de survie faibles : Les taux de survie à 5 ans sont bien inférieurs à ceux observés dans les pays à revenu élevé. Par exemple, pour le cancer du sein, le taux de survie à 5 ans est inférieur à 15% en Afrique, contre 85% dans certains pays développés.
- Manque d'accès aux soins : De nombreux Africains n'ont pas accès à des traitements adaptés, en raison du coût élevé des soins, du manque de personnel médical formé et de l'éloignement des centres de traitement.
L'OMS estime que les cancers en Afrique représentent environ 8 % de la charge mondiale de morbidité liée au cancer. Les cancers les plus fréquents sur le continent sont le cancer du sein, du col de l'utérus, du foie et de la prostate.

Siemens Healthineers et Varian : Une alliance pour l'innovation
Dans le combat mondial contre le cancer, l’alliance entre Siemens Healthineers et Varian représente une avancée majeure. Ensemble, ils proposent une approche intégrée couvrant l'ensemble du parcours de soin, de la détection précoce des tumeurs grâce à des technologies d’imagerie médicale de pointe, à des traitements de radiothérapie de haute précision.
Cette alliance permet de proposer des solutions plus ciblées, réduisant ainsi les effets secondaires tout en maximisant l'efficacité des traitements. De plus, grâce à des outils numériques avancés, la gestion des données et des traitements est optimisée, offrant une prise en charge plus personnalisée et facilitée pour les professionnels de santé.
En unissant leurs expertises, Siemens Healthineers et Varian contribuent activement à rendre les soins oncologiques plus accessibles, plus efficaces et à renforcer les chances de guérison, pour un monde sans peur du cancer.
Ainsi Siemens Healthineers et Varian continuent de repousser les limites de l'innovation en oncologie. Dans l’objectif d’offrir les meilleurs soins à chacun, où qu’il soit. Durablement.